Mon expérience avec l'apnée du sommeil et la gouttière SnoreFree Swiss

Mon expérience avec l'apnée du sommeil et la gouttière SnoreFree Swiss

Mon expérience dans la lutte contre l'apnée du sommeil et l'efficacité du dispositif SnoreFree Swiss.

Depuis plus de quatre ans, je lutte contre la somnolence diurne, le ronflement et les interruptions respiratoires.

Après un examen approfondi par le Dr Antoine Aschmann (spécialiste ORL en médecine du ronflement à Zurich) et le Centre de Médecine du Sommeil & de l'Éveil (Dr Neumann), un syndrome d’apnée obstructive du sommeil avec des niveaux de désaturation très profonds et prolongés m'a été diagnostiqué (AHI 69, saturation moyenne en oxygène à 86 %, 7 hypopnées et 248 apnées obstructives).

On m’a immédiatement recommandé et fourni un appareil CPAP. Cependant, je n’ai pas pu m’y habituer et le problème a persisté.

Après une perte de poids de 16 kg, une chirurgie nasale et l'utilisation d’un dispositif TAP (entreprise SCHEU), les apnées ont été considérablement réduites. Cependant, ce dispositif présente certains inconvénients :

  • Les mâchoires supérieure et inférieure sont fixées ensemble.
  • Boire, parler et bâiller sont impossibles.

Dispositif SnoreFree Swiss :

En février 2024, sur les conseils du Dr Neumann, j’ai consulté le Dr Malina (Clinic Profilance, Zurich) et ProthesLab3D GmbH pour une nouvelle solution. Après une évaluation, le Dr Malina a recommandé le dispositif de protrusion SnoreFree Swiss, qui a été fabriqué sur mesure en une semaine.

Ce dispositif anti-ronflement a considérablement amélioré ma qualité de sommeil et réduit mon problème d’apnée du sommeil au minimum. Il est fabriqué avec des matériaux de haute qualité, est confortable à porter et réglable.

Comparaison des dispositifs (données CIRCUL+) :

  1. Dispositif TAP

    • ODI = 27
    • SpO2 moyen le plus bas = 71 %
    • SpO2 moyen = 92 %
  2. SnoreFree Swiss

    • ODI = 18
    • SpO2 moyen le plus bas = 76 %
    • SpO2 moyen = 93 %.

Je suis très satisfait de ce produit et le recommande vivement.

Merci aux Drs Aschmann, Neumann, Malina et à M. De Gregorio pour leur soutien.